Quatre ans après son album novateur Bach Unlimited, la pianiste Lise de la Salle présente une odyssée très personnelle inspirée par son amour de la danse et sa fascination pour la période allant de 1850 à 1950. Bien plus qu’une question, l’album When do we dance? de Lise de la Salle est une invitation au voyage, « celui qui explore les différentes façons dont la danse s’empare du corps ». Un voyage dans le temps nous entraînant de 1850 à 1950, avec un accent mis sur la modernité ; un voyage qui traverse les océans d’Amérique du Nord vers l’Europe de l’Est en passant par l’Argentine, l’Espagne, la France, la Hongrie, mais aussi la Russie ; un voyage au cœur du rythme. Ce point d’attache pour la danse aussi bien que pour la musique en général, qui donne vie aux ragtimes de Gershwin et Bolcom, aux danses folk de Bartók et à la valse de Saint-Saëns.
« En gros c’est un siècle, un tour du monde et des danses. Comme c’est une thématique très large j’ai fait le choix de me concentrer sur une durée limitée ; je pars de la fin du 19e pour arriver à la fin du 20e siècle. Il y a une telle diversité de couleurs et tellement d’émotions. A chaque fois que l’on se ballade, il y a ce côté festif, très intense, de la danse. La danse m’a toujours fascinée, ce rapport au corps, au rythme, à la pulsation et au mouvement. Que ce soit dans mon travail de musique ou dans la vie, je pense que le mouvement est absolument essentiel car si on reste figé on perd tout. C’est un disque qui inclut Ravel, en passant par Piazzolla, Bartôk et Rachmaninoff et qui finit avec Art Tatum. »
Lise de la Salle se produit sur les grandes scènes internationales depuis plus de 15 ans et s’est positionnée comme l’une des musiciennes majeures de sa génération.
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